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Objectifs CNCI Argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. Recommandations Collège d'Hépato-gastro-entérologie 2021 Mots-clés A savoir Organique / élective / progressive Fonctionnelle / paradoxale / intermittente SdG: AEG / Troisier / dénutrition Manométrie si EOGD = normale Achalasie : manométrie = (3) Dilatation endoscopie ou myotomie Dysphagie = EOGD +++ Rechercher cancer oesophage Sérologie VIH si candidose  

Objectifs CNCI Diagnostiquer une tumeur de l’œsophage. Recommandations Collège d'HGE 2018 Collège de Cancérologie 2019 Collège de Chirurgie générale, viscérale et digestive 2019 Thésaurus National de Cancérologie digestive, cancer de l'oesophage 2016 HAS ALD 11 HAS ALD 30 Mots-clés A savoir Carcinome / tabac-alcool / tiers sup. AdénoK / EBO post-RGO / tiers inf. Dysphagie: élective-progressive-AEG Troisier / compression / toux / TR BPCO / cirrhose / nutrition / stomato EOGD / TDM-échoendo / pan-fibro Bilan nutritionel et d’opérabilité (3) ++ Toux: fistule oesoT  ou  nerf récurrent CI: non-opérabilité / non-résécabilité C: mucosectomie / oesophagectomie P: radiochimioT / pose endoprothèse PenC 100% / soutien psy / palliatif RCP et PPS Dysphagie = EOGD Alcool: sevrage / P° du DT Cancer ORL / pan-endoscopie Ex. aires Gg = schéma daté Bilan nutrition / comorbidités

Vous recevez en consultation madame R, 33ans, pour des troubles de déglutition apparus ces dernières 24h. Elle décrit en effet une dysphagie aux solides comme aux liquides, sans épisodes de fausse route.
Son petit ami qui l'accompagne ajoute qu'il a l'impression que la voix de sa compagne s'est modifiée dernièrement, devenant discrètement plus aiguë.
La patiente n'a pas d'antécédents particuliers, et ne prend comme traitement qu'une contraception par pilule oestroprogestative.

Vous recevez en consultation madame R, 33ans, pour des troubles de déglutition apparus ces dernières 24h. Elle décrit en effet une dysphagie aux solides comme aux liquides, sans épisodes de fausse route.
Son petit ami qui l'accompagne ajoute qu'il a l'impression que la voix de sa compagne s'est modifiée dernièrement, devenant discrètement plus aiguë.
La patiente n'a pas d'antécédents particuliers, et ne prend comme traitement qu'une contraception par pilule oestroprogestative.

 Mme V, 38 ans, vous consulte pour faire le point sur une dysphagie évoluant depuis 6 mois, d'aggravation progressive, prédominant sur les solides, associé douleur oro-pharyngées. 

Elle se plaint également d'une odynophagie, d'une sensation de sècheresse buccale, brûlures au contact alimentaire, goût métallique et décrit  un aspect "blanchâtre de sa langue". 

Le poids est stable.  Elle n'a aucun antécédent.

Vous recevez en consultation Mlle Amal AUBIDE, 40 ans pour douleurs abdominales.

Il s’agit d’une patiente fumeuse de longue date (35 paquets-année), sans autre antécédent notable hormis 2 grossesses sans complications, qui vous décrit des douleurs abdominales épigastriques et rétro-sternales, survenant principalement en post-prandial et en position couchée de manière quasi quotidienne.

Votre examen clinique initial est sans particularité.

Vous voyez en consultation monsieur P., 67 ans, pour des troubles de la déglutition.

 

Le patient se plaint d'une dysphagie, progressive et persistante depuis quelques mois. Si au début il ne se plaignait que d'un accrocache intermittent des aliments à la déglutition, actuellement il éprouve une difficulté à ingérer des liquides. Il ne mange quasiment plus depuis quelques semaines et se plaint de régurgitations. Son halène est fétide. Le patient fume environ 1 paquet par jour depuis qu'il a 20 ans. Il tousse d'ailleurs beaucoup plus qu'à son habitude, surtout lorsqu'il boit. Cet ancien barman déclare boire chaque jour 2 verres de vin à chaque repas ainsi qu'un ou deux apéritifs en fin de journée. Le patient n'est pas dyspnéique. 

 

Dans ses antécédents, on note une BPCO de stade 2 traitée par aérosols de salbutamol à la demande et aérosols de salmétérol et de bromure de tiotropium, une AOMI au stade de l'ischémie d'effort pour laquelle il prend de l'Aspirine, de l'atorvastatine et du ramipril chaque jour, une HTA traitée par ramipril seul, ainsi qu'une cardiopathie stentée (stent actif) il y a 5 ans pour laquelle son traitement comporte Aspirine, atenolol, atorvastatine, ramipril. Il a été opéré de l'appendicite lorsqu'il était adolescent. Son père est mort d'un infarctus du myocarde à l'âge de 55 ans.

Vous suspectez fortement un cancer de l'oesophage.

Mr S se plaint de brûlures rétrosternales évoluant depuis plusieurs mois, survenant à la suite des repas et lors du couchage . Ces brûlures surviennent de manière quasi quotidienne. Mr S n'a pas perdu de poids et ces brûlures ne le gênent pas pour s'alimenter . Il s'agit d'un patient de 52 ans , sans antécédent notable .